jeudi 2 janvier 2014

TENTATIVE DE DECONNEXION

Etude de cas n°4

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 Ce que mes enfants ont demandé comme cadeau pour Noël :

- Enfant 1 : une DS et un pistolet et une voiture téléguidée.

- Enfant 2 : une tablette, une robe de princesse et une poupée "Monster hight"

- Enfant 3 : Un seul cadeau : une tablette "Monster Hight" s'il te plaît, c'est ce que je veux par dessous tout. (son téléphone portable est inutilisable)

- Enfant 4 : rien du tout mais j'ai perdu mon vini, tu pourras m'en acheter un autre ?

(les vœux ont été énumérés par ordre d'importance)

 

Ce qu'ils ont eu :

- Enfant 1 : une DS et un pistolet et une voiture téléguidée.

 

 

 

- Enfant 2 : une tablette, une robe de princesse et une poupée "Monster hight"

 

 

Voulant minimiser au maximum la perte de temps sur tablette et l'addiction à tout ce qui est jeu ou autres distraction excessive, je décide de ne pas leur en acheter.

 

- Enfant 3 : un téléphone portable, smartphone

- Enfant 4 : un téléphone portable, smartphone

 

 

 

Pour les deux autres enfants, à cause d'une promotion exceptionnelle, je me suis laissé tenter et pour faire d'une pierre, deux coups, un téléphone portable était ce qui était le plus approprié.


 

Devant ce nouveau gadget portable offrant de nombreuses possibilités :

- téléphonie,

- accès à internet,

- appareil photo et caméra,

- lecteur de musique

- écran tactile

 

Toutes leurs journées sont remplies. Ils ne perdent pas de vue leur téléphone. Il les accompagne à table, à la douche, au lit, veille à ce qu'il soit chargé constamment. Ils téléchargent de nombreuses applications, entre autres des jeux et deviennent complètement déconnectés de ce qui se passe autour d'eux. Une phrase qui revient souvent : "il faut nous laisser le temps de découvrir notre téléphone".


L’angoisse d’être déconnecté augmente au fur et à mesure que notre téléphone mobile devient indispensable. Avec des smartphones toujours plus sophistiqués, et des applications toujours plus ingénieuses, il devient réellement difficile de s’en séparer.

Cette addiction a été conceptualisée sous le terme de nomophobie. Le mot est une contraction de «no mobile phobia», signifiant cette angoisse aiguë à l’idée de perdre son téléphone mobile ou encore l’incapacité à vivre sans. Les symptômes du mal iraient de la crise de panique en cas de batterie à plat au désir obsessionnel et persistant sur le long terme d’avoir toujours son appareil avec soi…





Des règles s'imposent : 

- Tous les téléphones doivent être remis aux parents au moment du coucher,

- Pas de téléphone pendant le repas, ni dans la douche,

- Si les tâches ménagères ne sont pas faites, un jour sans téléphone,

 

Nous ne pouvons pas nous déconnecter totalement de toute cette technologie qui nous profite, nous permet de faire les choses plus facilement et plus rapidement, mais ne nous y perdons pas. Cela peut très vite devenir le centre de toutes nos occupations au point de délaisser d'autres choses importantes : les échanges avec les autres, des activités extérieures...

 Une association en Amérique et d'autres marques en ont bien conscience et invente un nouvel art de vivre numérique.

Quand une marque en appelle à la déconnexion

 

Signe d’époque : une publicité récente pour la barre chocolatée Kit Kat met en scène le discours de la déconnexion volontaire… «Le monde entier devient une immense zone Wi-Fi», explique l’annonce, qui ajoute : «jusqu’au Mont Everest», désormais connecté lui aussi ! D’où la proposition d’un «break», d’une pause au sein d’une «free no Wi-Fi zone» de quelques mètres carrés, telle que celles mises en place en janvier 2013 à Amsterdam et Amstelveen aux Pays-Bas. Une pause dédiée à la «vraie conversation», à «la lecture d’un bon vieux journal» et bien sûr à la consommation de Kit Kat en toute tranquillité, c’est-à-dire totalement déconnecté.

 



L’association Reboot organise aux Etats-Unis une fois par an le «national day of unplugging». Sa dernière édition s’est déroulée le 1er et 2 mars 2013. Photo téléchargée par un des signataires californien sur le site de l’association.





Déconnecté, mais pas trop. Comme toutes les bonnes choses, il ne faut pas en abuser. Connaître les extrêmes et fixer des limites, un code de bonne conduite à suivre.

1 commentaire:

  1. Il est parfois difficile de savoir si on est victime, ou si d'autres personnes vivent des situations similaires à la nôtre. L'engagement quotidien de la BRIGADE SIGNAL ARNAQUE est de permettre à toutes les personnes victimes d’arnaque de connaitre leurs droits et de les faire valoir en déposant une plainte avec des preuves pouvant permettre aux Officiers de Police Judiciaire de mener des enquêtes qui aboutiront à l’arrestation des cybercriminels. Ces victimes seront ensuite soutenues dans toutes les démarches administratives alors si vous êtes victimes d’une quelconque arnaque, veuillez contacter :
    brigade_signal_arnaque@europamel.net / brigadesignalarnaque@mail.com

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